Extrait de l’Enquête BuzzFeed News – Sur les 573 candidats que présente le Front national aux législatives (2017), une centaine poste, aime ou partage des contenus homophobes, antisémites, islamophobes ou racistes. Tour de France du FN «dédiabolisé» de Marine Le Pen.

On va se contenter de la circonscription qui nous concerne, la 4ème de Seine-Maritime.

FAIL : En janvier 2016, Marine Le Pen a nommé Jean-Lin Lacapelle «secrétaire national aux fédérations et à l’implantation». Avec une mission: sillonner la France pour écarter des législatives les candidats dont le profil sulfureux et les propos outranciers donneraient une mauvaise image du parti.

FAIL : Nicolas Bay, directeur de la campagne FN des législatives, a qualifié mardi sur France Info cet article de «totalement mensonger». Selon lui, les «candidats disent la vérité». (NDLR : Nicolas Bay connait parfaitement le passé sulfureux de ce gugusse !)

FAIL : Sur France Inter, David Rachline, sénateur-maire de Fréjus, a évoqué d’éventuels sanctions si les propos sont «avérés».

Quenelle et identitaire

C’est qui? Nicolas Goury, candidat dans la 4e circonscription de Seine-Maritime.

Fait d’armes: Passé de la CGT au FN, Nicolas Goury est également proche des milieux identitaires. Il a ainsi été photographié lors d’une action de Génération identitaire à côté d’une banderole «Stop islamisation». On le retrouve également sur une image de propagande du groupe d’extrême droite aux côtés d’autres membres du mouvement.

Lors de son passage au FN, Nicolas Goury a été viré manu militari de la CGT qui n’a pas apprécié son engagement politique. Une décision à laquelle le candidat a tenu à réagir en gratifiant des locaux du syndicat d’une quenelle, geste créé par Dieudonné. Sur Twitter, il avait répondu en expliquant que c’était une «réponse humoristique et pacifique à des gens qui m’ont insulté».

 

 

Les migrants se sont retrouvés au cœur du débat, vendredi 30 septembre 2016 au conseil municipal après la question de l’élue FN I. Gilbert quant à la possibilité d’en accueillir.

« Le FN, c'est la haine et nous l'égalité, la solidarité », ont scandé les militants favorables à l'accueil des migrants.

« Le FN, c’est la haine et nous l’égalité, la solidarité », ont scandé les militants favorables à l’accueil des migrants.

Jusqu’ici très calme puisque tous les points à l’ordre du jour ont été adoptés à l’unanimité, le conseil municipal de vendredi dernier s’est soudain animé, au moment des questions diverses avec l’intervention d’Isabelle Gilbert ciblant les migrants.

Faisant référence à l’annonce par le ministre de l’Intérieur selon laquelle la Normandie doit accueillir 813 migrants suite au démantèlement de la jungle de Calais, l’élue frontiste a demandé si la ville d’Elbeuf est concernée et, si oui, à quelle hauteur ? Elle a ensuite demandé que soit pris en considération le fait que « les Elbeuviens sont déjà durement éprouvés par la crise économique, avec un taux de pauvreté de 27,6 % et un taux de chômage de 21 %, qu’ils subissent déjà une pression fiscale importante, que l’immigration massive nourrit des revendications communautaristes responsables de tensions importantes, enfin, qu’il n’est pas exclu que des terroristes se soient infiltrés dans les groupes migrants disséminés dans les centres d’accueil et d’orientation ».

Après avoir précisé que le FN « n’est pas opposé à l’accueil de famille ou de personnes qui soient de vrais réfugiés », elle a donc demandé à ce que « la ville d’Elbeuf s’engage par tous les moyens légaux à s’opposer au plan d’accueil de migrants et à ne verser aucune subvention aux associations dont l’objet est de promouvoir l’immigration massive et/ou l’accueil de migrants en situation irrégulière ». Tout ceci sous les sifflets des militants de Ras l’front, de la Ligue des Droits de l’Homme ou encore du Collectif antiraciste, présents en nombre, l’info ayant circulé dans la journée sur les réseaux sociaux après avoir fuité, ce que n’a pas manqué de reprocher Isabelle Gilbert au maire !

« C’est bien la première fois qu’on entend le FN se préoccuper de la pauvreté des Elbeuviens. D’habitude, vous appelez les assistés », a alors crié du fond de la salle Didier Étave, que Djoudé Merabet n’a pas réussi à faire taire. « Le FN, c’est la haine et nous l’égalité, la solidarité, l’accueil », a ensuite scandé l’ancien élu d’extrême gauche.

Depuis 1946, un droit constitutionnel

« Parmi les 813 migrants, il n’y a pas de clandestins », a précisé le maire d’Elbeuf avant d’ajouter : « Le droit d’asile est constitutionnalisé en France depuis 1946, juste après une période de guerre ou des dizaines de milliers de nos concitoyens ont trouvé refuge dans des pays tiers. En tant qu’élu de la République, je suis légaliste, j’applique et fais respecter la loi ».

Si les services de l’État n’ont encore fait aucune demande à la ville à ce sujet, Djoudé Merabet a expliqué que si cela devait être le cas, la réflexion serait menée « en tenant compte des équilibres à respecter dans notre ville et en s’assurant que l’accompagnement soit pris en charge par l’État ».

N’éludant pas le contexte économique difficile, il s’est fait le porte-parole des Elbeuviens en déclarant : « Beaucoup de nos concitoyens connaissent en effet la précarité mais je ne crois pas qu’ils soient pour autant insensibles au sort des autres. Ce serait les insulter que de penser ça ».

Enfin, il a conclu à l’adresse d’Isabelle Gilbert « : « Votre vision du monde fait peur et est faite pour faire peur. Agiter les peurs ne constitue pas une politique ; c’est au mieux une posture idéologique, une stigmatisation à visée électoraliste ».

Source : Journal d’Elbeuf

fn_elbeufIsabelle Gilbert, Présidente du groupe Elbeuf Bleu Marine, a communiqué à la Mairie une question écrite préalable au Conseil municipal de vendredi soir afin de demander si Elbeuf accueillerait des migrants issus de la jungle de Calais.

Dans un but totalement prémédité de perturber cette simple question et la bonne tenue des débats du Conseil, Monsieur le Maire n’a rien trouvé de mieux que d’ameuter des mouvements d’extrême-gauche immigrationistes dans le public. Ces derniers déployant des affiches et criant leur opposition en toute illégalité puisque le règlement intérieur et la loi interdisent de telles expressions.

Feignant de faire taire le public alors que c’est lui-même qui les a conviés pour troubler l’intervention de Madame Gilbert, Djoudé Merabet a dérogé à ses obligations légales de police de l’Assemblée au sein de sa propre Mairie en laissant déployées des pancartes hostiles dans l’enceinte du Conseil.

Cet acte prémédité de la part du Maire est inacceptable. En invitant des nervis d’extrême-gauche pour tenter d’intimider et de museler l’expression d’une opposition qui représente plus du tiers des électeurs Elbeuviens, Djoudé Merabet veut interdire la démocratie dans notre commune.

Malgré les intimidations et les méthodes totalitaires de la gauche locale, les élus du Front National continueront de porter la voix des Elbeuviens et de faire son travail d’opposition légitimé par les urnes.

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Le maire d’Elbeuf a des problèmes avec la liberté d’expression.

L’unique opposition au conseil municipal représentée par les élus du Groupe Elbeuf Bleu Marine a décidé de poser une question sur le problème de la répartition des migrants de Calais en Normandie. Nous souhaitions savoir, comme la majorité des Elbeuviens, s’il était prévu d’en héberger dans notre ville et nous tenions à manifester officiellement notre opposition à cet éventuel accueil.

Plutôt que de répondre posément à notre question, celle-ci ayant été envoyée en avance et par écrit au cabinet du maire, comme nous y oblige le règlement intérieur, Djoudé Merabet a préféré faire venir des nervis d’extrême gauche pour perturber le conseil municipal en manifestant bruyamment et en déployant pancartes et banderoles.

C’est une tentative d’intimidation, et un scandaleux déni de démocratie qui ne fait pas honneur au premier magistrat de notre ville qui préfère la censure aux débats.

Tête haute aucuns des élus municipaux du Front National n’a reculé malgré l’agressivité manifeste de certains manifestants.

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Tempête Place Beauvau ! En cause, le nouveau permis de conduire format carte d’identité, décidé par l’Europe en 2006.

Tempête Place Beauvau ! En cause, le nouveau permis de conduire format carte d’identité, décidé par l’Europe en 2006. Le ministre de l’Intérieur de l’époque, un certain Nicolas Sarkozy, saisit cette occasion pour lancer une grande réforme, baptisée FAETON : un seul gros système informatique traitera tous les aspects du permis de conduire, depuis l’inscription à l’auto-école jusqu’à la délivrance du document en passant par la gestion des points retirés et rendus. C’est l’Agence nationale des titres sécurisés (ANTS), établissement public sous tutelle du ministère de l’Intérieur, qui est chargée du projet. La date butoir fixée par Bruxelles : janvier 2013. En 2011, l’ANTS signe un contrat de 32,7 millions d’euros avec l’entreprise Capgemini, chargée de développer FAETON. Trois ans plus tard, la facture a explosé (53,8 millions d’euros) et FAETON ne fonctionne toujours pas.

C’est l’actuel ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve qui, flairant du louche dans l’affaire, saisit la Cour des comptes. Il y a quinze jours, trois dirigeants de l’ANTS comparaissaient devant la Cour de discipline budgétaire et financière. Cette juridiction spécialisée, interne à la Cour des comptes, était, pour cette importante occasion, présidée par Didier Migaud en personne. La décision est en délibéré.

En grattant un peu, on distingue deux volets dans cette affaire. D’abord la dépense de plus de 50 millions d’euros pour un truc qui ne marche pas. Ça, on y est habitué avec toutes les Bérézina informatiques extrêmement coûteuses concoctées par l’État depuis des décennies ; souvenez-vous de LOUVOIS, l’application de solde des militaires, abandonnée après une dépense d’un demi-milliard d’euros.

Mais on découvre également une sordide affaire de passation de marché public plus ou moins truquée concernant les « titres électroniques sécurisés » (TES), dans laquelle deux soumissionnaires s’affrontent pour emporter le morceau. Des lettres de dénonciation circulent, des gens sont « démissionnés », des plaintes pour calomnie sont déposées, des chiffres sont avancés (on parle d’un marché de 140 millions d’euros), l’IGA – Inspection générale de l’administration – se mobilise, bref, on a tous les ingrédients d’un scandale financiaro-administrativo-politique comme on les aime en France.

Ce qui est bizarre, dans ce cloaque, c’est le silence absolu des médias. Seul le site caradisiac.com a publié cette information, reprise par un ou deux sites du Net.

Pour voir – et peut-être aussi pour rire -, j’ai cherché à savoir combien de points restaient attachés à mon permis de conduire. Sur le site http://www.interieur.gouv.fr, en fouillant un peu, je suis tombé sur un mini-écran intitulé « Services en ligne : télépoints, solde des points du permis de conduire. » Youpi ! Je clique. Et là, surprise ! Un cadenas apparaît plein écran, sauvagement barré de rouge et accompagné de ce commentaire : « La connexion n’est pas sécurisée. Les propriétaires de tele7.interieur.gouv.fr ont mal configuré leur site. Pour éviter que vos données ne soient dérobées, cette application ne s’est pas connectée à ce site. » Même Mozilla se méfie du site du ministère de l’Intérieur.

À l’horizon se profile le prélèvement à la source de l’impôt sur le revenu : ça va être croquignolet.

Source : Boulevard Voltaire

Mardi dernier, le 3 mars, trois militants du FN se sont fait agresser par un individu à Elbeuf. Bilan : trois jours d’ITT pour l’une des militantes. L’agresseur a été interpellé.

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La campagne des Départementales a été marquée mardi après-midi par un violent incident à Elbeuf, dans le quartier du Puchot. Trois militants et élus du Front National, Isabelle Gilbert, Micheline Carré et Jean-Christophe Perrin se sont fait agresser lors d’une classique opération de “boitage” dans l’un des immeubles du quartier. Un individu d’une trentaine d’année, accompagné d’un chien, aurait, selon les témoignages recueillis, insulté les trois élus elbeuviens  puis, dans un second temps, attrapé violemment Micheline Carré.

La police, qui effectuait un contrôle de la route à quelques dizaines de mètres de là, est ensuite intervenue. L’individu a été interpellé et entendu au commissariat de police de Rouen. Plainte a été déposée par les élus du Front National. Micheline Carré s’est vue prescrire une ITT de trois jours.

Pour Isabelle Gilbert, que nous avons joint au téléphone, cette altercation ne fait que renforcer sa détermination : “Il est totalement hors de question qu’il existe (à Elbeuf) des endroits où il ne soit pas possible d’aller”

Elbeuf, 76

Ses membres n’ayant pas été convoqués dans les délais les légaux, le conseil municipal du jeudi 11 décembre 2014 a eu lieu pour du beurre. Un coup pour rien…

L’élue frontiste Isabelle Gilbert avait menacé Djoudé Merabet et ses colistiers de déposer un recours en annulation devant le tribunal administratif si ce conseil n’était pas annulé et reporté. Elle a obtenu gain de cause : les conseillers seront de nouveau convoqués sur le même état du jour. Le conseil du 18 décembre 2014 est donc allé jusqu’à son terme pour rien !

L’élue frontiste Isabelle Gilbert avait menacé Djoudé Merabet et ses colistiers de déposer un recours en annulation devant le tribunal administratif si ce conseil n’était pas annulé et reporté. Elle a obtenu gain de cause : les conseillers seront de nouveau convoqués sur le même état du jour. Le conseil du 18 décembre 2014 est donc allé jusqu’à son terme pour rien !

C’est un menu particulièrement copieux qui attendait les élus elbeuviens le jeudi 11 décembre 2014. Pourtant, dès la fin présentation du plat de résistance – le Budget primitif 2015 – Isabelle Gilbert – et alors que Djoudé Merabet demandait s’il y avait des interventions, Isabelle Gilbert, porte-parole de la liste Bleu marine en l’absence des deux Nicolas (Bay et Goury), a averti : “Nous ne ferons pas de déclaration et ne prendrons pas part à ce vote, pas plus qu’aux suivants, les convocations n’ayant pas été envoyées cinq jours francs avant la tenue d conseil comme le prévoit la loi”. Alors que ses colistiers agitaient sous les yeux des élus socialistes leurs enveloppes – portant pour certains le 15 décembre, pour d’autres le 16, comme date d’expédition, le cachet de la poste faisant foi – l’élue du Front national poursuivait : “Nous demandons l’annulation et le report de ce conseil”.

Une entrave à l’exercice de la démocratie

Elle menaçait même, au cas, où la majorité passerait outre et déciderait de ne pas tenir compte de cet avertissement,” de déposer un recours en annulation devant le tribunal administratif. C’est difficile d’envoyer des questions cinq jours avant (NDLR : ce que prévoit le règlement intérieur du conseil) si on’ n’a pas les délibérations. on ne peut pas préparer le conseil dans de bonnes conditions. c’est une entrave à l’exercice de la démocratie”. Le maire d’Elbeuf essayait de s’en sortir comme il pouvait – “Pour vous envoyer l’ordre du jour et les délibérations dans les temps, il nous faudrait les bonnes adresses. Certaines que vous nous avez communiquées ne sont pas bonnes (NDLR : plusieurs élus frontistes n’habitent pas la ville)mais décidait de poursuivre. Les délibérations se succédaient rapidement ; du coup et malgré la trentaine à l’ordre du jour, le conseil était vite expédié. Sans intervention, ça va plus vite !

Une erreur administrative

Mais dès le lendemain, l’équipe majoritaire décidait de ne pas s’entêter. Après vérification, elle reconnaissait être en faute et qu’une erreur administrative avait bien été commise. Un cas de figure extrêmement rare mais qui peut se produire. La preuve ! Au lieu de partir le vendredi, les enveloppes avaient été postées le lundi, voire le mardi. Pourquoi ? Difficile de jeter la pierre à quelqu’un, sachant que les services compétents ont travaillé en délai contraint, ce dernier conseil de l’année étant convoqué tout juste quatre semaines après le précédent, qui comprenait le débat d’orientations budgétaires.

Le conseil convoqué ultérieurement mais rapidement

Face aux menaces de leurs opposants, l’équipe majoritaire a préféré ne prendre aucun risque. Le conseil municipal sera donc de nouveau convoqué, très rapidement mais dans les délais légaux cette fois, afin de statuer sur le même ordre du jour.

Tout ça pour ça !

Source: Journal d’Elbeuf

gilbertCommuniqué de presse d’Isabelle Gilbert, Conseiller municipal d’Elbeuf, Responsable FN du canton d’Elbeuf

Agressé à coups de marteau pour un regard qui a déplu, en pleine rue, en pleine journée. C’est ce qui est malheureusement arrivé à un jeune habitant de la rive gauche, qui a fait les frais de l’insécurité qui règne quotidiennement à Elbeuf.

Incivilités incessantes, agressions de plus en plus violentes, c’est ce que subissent les Elbeuviens tous les jours. Les commerçants ne s’y trompaient pas lorsqu’en juin dernier ils se réunissaient dans la rue même où à eu lieu l’agression de dimanche afin d’organiser leurs états généraux dont la plupart des doléances concernait l’insécurité en centre-ville.

Le laxisme d’état instauré par les gouvernements successifs et l’inaction du maire, Djoudé Mérabet, pour qui la sécurité des Elbeuviens semble être la dernière des priorités, font d’Elbeuf une ville abandonnée aux délinquants.

Le Front National dénonce les politiques laxistes menées tant au niveau de l’État que par la municipalité socialiste. Il exige une politique pénale répressive et exemplaire, l’application réelle des peines de prison prononcées ainsi que le renforcement des effectifs de police. Il demande également au maire de donner à la police municipale les moyens humains et matériels d’assurer la sécurité publique afin que les Elbeuviens ne soient pas les éternelles victimes des délinquants.

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Image  —  Publié: 26 avril 2014 dans Politique
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